La funeste nuit
d'un loup en peluche
qui ne devait plus murmurer à l'oreille des enfants
Une histoire écrite par Ludovic Huart, monstrueusement illustrée par Franck Dion.
Il était une fois... La funeste nuit, en vidéo !
Quartier de Skeleton. Gribouille est un petit garçon-chiffon qui vit dans un monde, pas franchement merveilleux. Depuis qu'il n'y a plus rien à manger, il y a des bruits qui courent, des rumeurs bizarres qu'on raconte. Les voisins qui bavardent beaucoup disent qu'un terrible monstre – plus connu sous le nom de Mange-feu – a commencé à grignoter la terre tout entière. Une nuit d'orage, le Grand Chambardement éclate. Mange-feu, prétextant que les enfants sont la cause de bien des chagrins, décide donc de régner en Roi de l'Épouvante et transforme le monde en une cité cauchemardesque dans laquelle, il est interdit aux enfants de rêver.
La funeste nuit d'un loup en peluche qui ne devait plus murmurer à l'oreille des enfants est un conte cruel, noir et magique : c'est un rêve, mais aussi un cauchemar, un monde obscur, souterrain, auquel on accède par la porte du placard à balais...
Une histoire tendre et féroce, pour les enfants sages ou méchants à partir de 12 ans et pour tous les autres vilains gamins qui sommeillent en chacun de nous.
CONTE NOIR (disponible en librairie depuis le 24 décembre 2010) aux éditions Des vilains gamins,
Format cartonné : 22,5 x 22,5cm
50 pages couleur - Prix : 16,50 €
ISBN : 978-2-918993-00-1
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La funeste nuit d'un loup en peluche... dans la lumière des projecteurs !
Lire la chronique de L'Union publiée le 13 avril 2011 : Ici
Théâtre : la difficile vie des enfants rêveurs
Le festival des arts de la parole touche presqu'à sa fin, mais le Fumacien et artiste Ludovic Huart, s'est produit récemment avec La funeste nuit d'un loup en peluche, qui ne devait plus murmurer aux oreilles des enfants. A l'espace festival, le public est venu en nombre, pour voir et écouter l'artiste local et sa collègue Hélène Defline. Écrit par Ludovic Huart, ce nouveau conte noir entraîne le spectateur, dans les méandres d'un monde étrange, peuplé d'animaux en peluche.. qui ne devaient plus murmurer à l'oreille des enfants. Comme a dit Ludovic Huart, « c'est un rêve, mais aussi un cauchemar, un monde obscur, souterrain, auquel on accède par la porte d'un placard à balais..et comme dans tous les rêves, il faut accepter de ne pas tout comprendre, de ne pas tout maîtriser, juste ressentir et vivre ». Ce monde étrange, les jeunes et moins jeunes de cette soirée, l'ont parcouru, pour s'approcher un peu plus de la pièce.
Ludovic Huart et Hélène Defline ont bien fait comprendre la dure et difficile vie des enfants, durant cette période cruciale de la guerre. Quoi allons-nous manger ce soir ? Des boulettes de charbons, des boîtes de conserve, qui souvent sont vides…
La guerre, l'horreur, la peur, le loup, les costumes, apparaissent ici, comme des taulards. Mais finalement tout finira dans la juste réalité, par la naissance d'une vie faite comme les autres.
« Du bel ouvrage et une réalité certaine », comme ont dit certains spectateurs, tout en félicitant l'artiste local, qui une fois de plus a réussi le montage de cette pièce.
La funeste nuit d'un loup en peluche... dans la lumière des projecteurs !
Lire la chronique de L'Union publiée le 13 avril 2011 : Ici
Théâtre : la difficile vie des enfants rêveurs
Photos : Pauline Caplet | Théâtre des Mots Dits, 2011
Ludovic Huart et Hélène Defline ont bien fait comprendre la dure et difficile vie des enfants, durant cette période cruciale de la guerre. Quoi allons-nous manger ce soir ? Des boulettes de charbons, des boîtes de conserve, qui souvent sont vides…
La guerre, l'horreur, la peur, le loup, les costumes, apparaissent ici, comme des taulards. Mais finalement tout finira dans la juste réalité, par la naissance d'une vie faite comme les autres.
« Du bel ouvrage et une réalité certaine », comme ont dit certains spectateurs, tout en félicitant l'artiste local, qui une fois de plus a réussi le montage de cette pièce.
